Je suis Julien, torréfacteur engagé dont l'objectif est de vous faire découvrir un café torréfié avec passion et respect de l'humain d'une part et respect de l'environnement d'autre part. Mon objectif est de vous faire découvrir les qualités aromatiques d'un café en fonction de sa variété, son terroir et son origine.
Mes cafés sont issus de l'agriculture biologique et raisonnée.
Mon histoire : La découverte d'un goût et la naissance d'une passion...
Ma rencontre avec le café me ramène à des souvenirs heureux de l’enfance : à la fin d’un repas de famille, ma grand-mère me diluait du café avec de l’eau chaude pour faire « comme les grands ».
L’amour du café, lui, est né au travers de mes voyages pendant une année en 2010 : d’abord à Vancouver où je passais des journées entières à siroter du café tout en peaufinant mon anglais. Inconsciemment d’abord, j’enrichissais mon palais de la richesse aromatique présente dans le café. Ensuite à San Francisco, j’ai découvert les « coffee shops », des lieux de vie où il était bon de se rassembler entre amis autour d’un bon café parfois torréfié sur place, avec un goût incomparable aux cafés ordinaires. Le torréfacteur n’était jamais loin et me transmettait déjà sa passion sans le savoir.
Le café prend alors une toute autre place dans ma vie ; j’achète mon premier moulin, je m’intéresse aux « méthodes douces » pour faire du café filtre.
Puis je suis de plus en plus séduit par les grains, j’échange avec des torréfacteurs dans toute la France et au travers de mes séjours en Europe.
Chaque voyage devient un nouveau prétexte pour découvrir des torréfacteurs passionnants et passionnés et des nouveaux concepts de coffee shops
En 2018, je m’aventure au Costa Rica à la rencontre d’un producteur de café, Pedro Jiménez m’accueille dans sa ferme familiale.
Je comprends que la production d’un bon café doit respecter beaucoup de paramètres pour être de qualité et pour suivre une démarche éthique et responsable : récolte à la main des caféiers situés en haute altitude (>1200 m), pas d’utilisation d’intrants chimiques afin de respecter la terre et la nature, les méthodes naturelles sont privilégiées pour lutter contre les maladies et les insectes.
Le café est dit « de spécialité » : le circuit d’approvisionnement est court. Le producteur est rémunéré au plus juste de son travail pour faire vivre sa famille et pérenniser son exploitation.
Concrètement, on s’éloigne du café vendu en grande distribution, dont les producteurs ne sont pas toujours rémunérés à la hauteur de leur labeur.
Au retour de ce voyage, ma prise de conscience est indéniable, je deviens torréfacteur pour vous faire découvrir le travail passionné de ces producteurs qui respectent leur environnement et l’humain à la fois.