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Du Sucre Au Miel
Je me présente
Michel MOREAU, 48 ans, 8 Av de Sable 53170 Meslay du Maine
Apres différentes aventures, dans le commerce (GMS) et artisan (Boulanger pâtissier), j’ai voulu revenir à une activité avec des valeurs de proximités (producteur consommateur).
C'est en 2021 que je suis devenu apiculteur, dans le cadre d'un projet de reconversion professionnelle et d’une formation professionnelle (CS apiculture) au lycée agricole de LAVAL.
Quand j'ai conçu mon projet je me suis donné comme ligne de conduite, comme philosophie, comme éthique de ne pas transhumer mes ruches pour le bien être de mes abeilles.
De ce fait, les abeilles ne souffrent pas, et l’impact écologique est minimal.
- Je privilégie les petits ruchers chez des agriculteurs laitier avec des parcours de prairie en bio ou des volaillers pour leurs environnement bocager protéger (de 12 à 15 colonies au maximum)
Cela dans trois objectifs :
- Ne pas mettre trop d'abeilles sur une même zone de butinage, pour ne pas déranger les autres insectes polinisateurs.
- Limiter le risque de propagation de maladies (peu de ruches et limitation de la dérive),
- Limiter les pertes (suivant l'adage, ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier).
Je récolte exclusivement des cadres de hausses operculés.
Les cadres dans lesquels le miel est récolté n'ont jamais été en contact avec un traitement.
De façon plus générale, j'essaye d'être respectueux de mes abeilles et de leur développement.
Elles évoluent à leur rythme.
Michel MOREAU, 48 ans, 8 Av de Sable 53170 Meslay du Maine
Apres différentes aventures, dans le commerce (GMS) et artisan (Boulanger pâtissier), j’ai voulu revenir à une activité avec des valeurs de proximités (producteur consommateur).
C'est en 2021 que je suis devenu apiculteur, dans le cadre d'un projet de reconversion professionnelle et d’une formation professionnelle (CS apiculture) au lycée agricole de LAVAL.
Quand j'ai conçu mon projet je me suis donné comme ligne de conduite, comme philosophie, comme éthique de ne pas transhumer mes ruches pour le bien être de mes abeilles.
De ce fait, les abeilles ne souffrent pas, et l’impact écologique est minimal.
- Je privilégie les petits ruchers chez des agriculteurs laitier avec des parcours de prairie en bio ou des volaillers pour leurs environnement bocager protéger (de 12 à 15 colonies au maximum)
Cela dans trois objectifs :
- Ne pas mettre trop d'abeilles sur une même zone de butinage, pour ne pas déranger les autres insectes polinisateurs.
- Limiter le risque de propagation de maladies (peu de ruches et limitation de la dérive),
- Limiter les pertes (suivant l'adage, ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier).
Je récolte exclusivement des cadres de hausses operculés.
Les cadres dans lesquels le miel est récolté n'ont jamais été en contact avec un traitement.
De façon plus générale, j'essaye d'être respectueux de mes abeilles et de leur développement.
Elles évoluent à leur rythme.
