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La Ferme Du Lenet
Mon exploitation agricole se trouve à Castéra-Lanusse, dans les Hautes-Pyrénées, entre Lannemezan et Tarbes.
L’exploitation agricole est créée en 2008. Je reprends un peu de terre agricole où je mets quelques vaches pour y faire des veaux élevés sous la mère. A côté, je suis salarié agricole au sein du service de remplacement agricole des Hautes-Pyrénées.
En 2014, je crée l’atelier d’engraissement de porcs en plein air. Les cochons sont dans les bois car je garde ma surface agricole (20 hectares) pour mes vaches. Les cochons que j’élève sont destinés à des charcutiers qui se trouvent dans les Hautes-Pyrénées.
En 2018, je crée un atelier de poules pondeuses (150 poules). Les œufs sont vendus par ma compagne sur le marché de Labarthe-de-Neste, à côté de Lannemezan, le dimanche matin.
Fin 2019, je reprends la vente moi-même. Il me vient à l’idée de faire transformer des cochons en pâtés, boudins, fromages de tête, rillettes, ventrèches séchées sous vide et saucissons.
Mes produits étant appréciés par les consommateurs, je décide en 2020 d’arrêter mon activité salariée pour me consacrer à la vente directe, que j’effectue dans la vallée d’Aure (Arreau, Saint-Lary).
Aujourd’hui, je souhaite développer la vente directe en agrandissant mes réseaux afin de pouvoir vivre de mon travail. Je souhaite également développer une gamme de produits dans le frais (saucisses, côtes de porcs rôties) et peut-être un jour intégrer ma compagne sur l’exploitation familiale.
Mes cochons sont nés, élevés et abattus dans les Hautes-Pyrénées avec une alimentation principalement locale (j’achète les céréales à mes voisins) pour vous garantir une gamme de produits de qualité.
Je reçois les porcelets à 30 Kg (ils ont environ 2,5 mois). Ils sont nés chez un petit naisseur de porcs qui est situé à une vingtaine de kilomètres de mon exploitation. Je les garde dedans de 30 à 50 Kg (environ 1 mois) pour qu’ils soient assez forts pour aller dehors.
Ensuite, je les emmène dans les bois. J’ai plusieurs parcours où ils vont rester entre 4,5 et 5,5 mois.
Toutes les semaines, je vais chercher les plus gros d’entre eux pour les mettre à l’abattoir de Tarbes.
L’exploitation agricole est créée en 2008. Je reprends un peu de terre agricole où je mets quelques vaches pour y faire des veaux élevés sous la mère. A côté, je suis salarié agricole au sein du service de remplacement agricole des Hautes-Pyrénées.
En 2014, je crée l’atelier d’engraissement de porcs en plein air. Les cochons sont dans les bois car je garde ma surface agricole (20 hectares) pour mes vaches. Les cochons que j’élève sont destinés à des charcutiers qui se trouvent dans les Hautes-Pyrénées.
En 2018, je crée un atelier de poules pondeuses (150 poules). Les œufs sont vendus par ma compagne sur le marché de Labarthe-de-Neste, à côté de Lannemezan, le dimanche matin.
Fin 2019, je reprends la vente moi-même. Il me vient à l’idée de faire transformer des cochons en pâtés, boudins, fromages de tête, rillettes, ventrèches séchées sous vide et saucissons.
Mes produits étant appréciés par les consommateurs, je décide en 2020 d’arrêter mon activité salariée pour me consacrer à la vente directe, que j’effectue dans la vallée d’Aure (Arreau, Saint-Lary).
Aujourd’hui, je souhaite développer la vente directe en agrandissant mes réseaux afin de pouvoir vivre de mon travail. Je souhaite également développer une gamme de produits dans le frais (saucisses, côtes de porcs rôties) et peut-être un jour intégrer ma compagne sur l’exploitation familiale.
Mes cochons sont nés, élevés et abattus dans les Hautes-Pyrénées avec une alimentation principalement locale (j’achète les céréales à mes voisins) pour vous garantir une gamme de produits de qualité.
Je reçois les porcelets à 30 Kg (ils ont environ 2,5 mois). Ils sont nés chez un petit naisseur de porcs qui est situé à une vingtaine de kilomètres de mon exploitation. Je les garde dedans de 30 à 50 Kg (environ 1 mois) pour qu’ils soient assez forts pour aller dehors.
Ensuite, je les emmène dans les bois. J’ai plusieurs parcours où ils vont rester entre 4,5 et 5,5 mois.
Toutes les semaines, je vais chercher les plus gros d’entre eux pour les mettre à l’abattoir de Tarbes.
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